En cliquant sur « Accepter les cookies », vous acceptez le stockage de cookies sur votre appareil pour améliorer la navigation sur le site, analyser l'utilisation du site et nous aider dans nos efforts de marketing. Consultez notre politique de confidentialité pour plus d'informations.
Facebook me rappelait récemment que la dernière fois que j’ai fait du camping (le 19 juillet 2008), j’avais écrit cela sur mon mur: « 8749 piqûres de maringouins, 3 cobras, 1 tarentule, 1 coup de soleil et une entorse à la cheville. Let’s face it, I’m not a camping type of girl. » Neuf ans plus tard, force est de constater que je ne suis toujours pas une fille des bois, sauf une fois par année, quand je vais au beau shack de mon amie Audrey. Il n’y a ni eau courante ni électricité, mais ça ne compte pas vraiment car elle a quand même une salle de bain complète et qu’on n’a donc pas besoin de creuser le sol pour faire vous-savez-quoi. Dans mon livre à moi, c’est presque du glamping.
Certains diront que je ne sais pas ce que je manque. J’avoue que je peux envisager le bonheur de se sentir seul au monde au milieu de la forêt, de se lever avec l’astre du jour, d’humer le bacon et le café qu’on prépare à même le feu qu’on a allumé de ses mains. Je comprends les paysages à couper le souffle, les nuits étoilées, les couchers de soleil flamboyants et les discussions philosophiques jusque tard dans la nuit. Mais consacrer presque autant de temps à un week-end de camping qu’à l’organisation d’un mariage tout simple pour 40 personnes? Non. Quand je décide de partir en vacances, ce n’est pas pour me donner plus de boulot!
Sauf que… Il y a définitivement quelque chose de merveilleux, qui tient de l’aventure et de l’enfance, dans le camping. Un charme certain qui nous ramène à cette période bénie où les téléphones intelligents et les tablettes n’existaient pas, et où on savait encore comment « jouer dehors. » Je me souviens d’avoir envié mes amies qui avaient passé leur été dans un camp de vacances, elles semblaient toutes appartenir à une sorte de société secrète super cool dont j’aurais tellement aimé faire partie! Alors en l’honneur des vacances qui approchent certainement pour plusieurs d’entre vous, à la gloire de ceux qui partiront avec leur tente, leur sac de couchage et une panoplie d’équipement pour découvrir quelques recoins cachés de notre belle province (ou de la planète!), à tous ces amoureux des régions sauvages et de l’odeur de fumée dans les cheveux, voici quelques idées mariage qui sauront certainement éveiller le scout ou la jeannette qui sommeille en vous!
Quels sont les incontournables pour un mariage qui s’inspire des plus chouettes colonies de vacances? Tout d’abord, ça prend des arbres et un beau petit lac. Ensuite, la seule limite est votre imagination: canot, tente, tipi, boussoles, vaisselle émaillée, feu de joie, guimauves grillées, bannières, fanions, plumes, flèche, bouleau, chasse, pêche, thermos, vieilles couvertures, jeux, fougère et créatures des bois ne sont que quelques-unes des idées qui me viennent en tête vite de même. Pour le summum de la cuteness, on recrée l’ambiance sixties et adorable du film Moonrise Kingdom de Wes Anderson.
En camping comme pour les mariages, c’est toujours plus agréable quand le soleil est au rendez-vous! Dans le cas contraire, on enfile imperméables et bottes de caoutchouc et on écoute la pluie tomber joliment sur le toit de l’abri au moment où vous ferez votre première danse (parce qu’évidemment vous avez prévu un plan B pour le repas, on est au Québec quand même!).
Un mariage qui s’étend sur tout un week-end dans le bois demande beaucoup d’organisation (et une quantité considérable de chasse-moustiques). Vous ne pourrez pas tout contrôler, vous aurez besoin de l’aide de tout votre entourage pour les préparatifs, mais je suis prête à parier que vous en reviendrez aussi un peu transformé, baigné de cette aura magique de ceux qui sont membres d’un clan tissé serré, avec poignée de main secrète et nom de totem en prime. Ça y est, j’ai presque le goût de me remettre au camping. Presque.
Visitez notre tableau Pinterest pour encore plus d’idées!
Vous êtes-vous déjà demandé ce qui avait bien pu se passer avec les fameux pots-pourris, ces mélanges odorants de fleurs, écorces et autres plantes séchées, qui ont régné en maître et chatouillé nos narines dans les années 90?
L’an dernier, j’ai célébré mes 40 ans. Oui, j’ai vécu la chute du mur de Berlin, la crise du Verglas, l’arrivée d’Internet. J’ai joué avec ma poupée Bout d’chou, avec la ferme Fisher Price et le Super Nintendo.