Je sais que les petites bibites ne mangent pas les grosses, que c’est scientifiquement impossible qu’un grand requin blanc fit dans une piscine creusée, que les zombies ne vont pas se mettre à exister juste parce qu’on n’arrête pas d’en parler et qu’il serait vraiment temps que je fasse une femme de moi et que je regarde enfin le clip Thriller de Michael Jackson, mais que voulez-vous, je suis une grosse poule mouillée! Pourtant chaque année, l’idée de l’Halloween m’excite autant que si j’avais 8 ans et j’espère toujours être invitée dans une soirée totalement déjantée, qui me permettrait de porter un costume in-croy-able que j’aurais moi-même confectionné (après avoir épinglé au moins 1849 photos sur Pinterest, bien sûr!) Puis la réalité me frappe de plein fouet: je ne connais personne de déjanté et j’ai vraiment pas le temps, moi, de me faire un costume de Marie-Antoinette avec l’équivalent de 8 boîtes de filtres à café! Sorry Martha…
Je vais donc satisfaire mon penchant pour cette fête païenne en vous proposant quelques idées pour un mariage envoûtant et ténébreux, inspiré des films noir, mais avec un peu de paillettes dorées, quand même… Oui, je sais que j’aime beaucoup ça mais après tout, c’est pas une veillée funèbre, hein! Toute sorcière bien-aimée a droit à un peu de bling, surtout si elle se marie!
Donnez comme consigne à vos invités de porter une parure noire pour la soirée, ou offrez-leur un loup ou un masque de dentelle en guise de cadeau pour une belle uniformité (vous ai-je déjà parlé de mon trouble obsessif-compulsif?).
La maison hantée n’est pas un pré-requis, mais c’est permis de succomber aux baisers de votre vampire adoré.
Non, ce n’est pas une apparition, ce sont vraiment les chaussures les plus diaboliques que vous n’avez jamais vues! Ma carte de crédit est morte de peur!
Images via Pinterest
Alors, un mariage à l’Halloween, ça vous donne la frousse ou pas? Oseriez-vous? Si j’ai le droit (et les moyens!) de porter la robe avec les multiples rangs de strass dans le dos, je dis: « anytime, en autant que je n’aie pas à embrasser un crapaud! »
Vous êtes-vous déjà demandé ce qui avait bien pu se passer avec les fameux pots-pourris, ces mélanges odorants de fleurs, écorces et autres plantes séchées, qui ont régné en maître et chatouillé nos narines dans les années 90?
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L’an dernier, j’ai célébré mes 40 ans. Oui, j’ai vécu la chute du mur de Berlin, la crise du Verglas, l’arrivée d’Internet. J’ai joué avec ma poupée Bout d’chou, avec la ferme Fisher Price et le Super Nintendo.
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